LES EPIDEMIES ONT TOUJOURS TRANSFORME LES VILLES, QUEL VACCIN POUR AUJOURD’HUI ?

Temps de lecture : 15 minutes
Mots clés : Covid-19, déconfinement, enjeux urbains, ville, architecture, urbanisme, mobilité

La crise aigüe de la pandémie du Corona virus SARS-CoV-2 semble être derrière nous après plus de 2 mois de confinements. Un confinement qui laissera de nombreuses traces dans la vie de chacun d’entre nous et qui distilleront dans nos vies quotidiennes tout autant que dans nos comportements à long terme, des changements de comportements dans les relations humaines (distanciation sociale), mais également dans notre consommation quotidienne de la ville. C’est sur ce dernier point que nous allons nous attarder aujourd’hui en relevant quelques pistes de réflexion au travers de ce qui s’est passé dans l’histoire de la ville moderne et industrielle lors d’épidémies relativement récentes.

La ville moderne s’est transformée grâce aux épidémies

L’histoire de la ville contemporaine, telle que nous la connaissons, démontre que les problèmes sanitaires ont toujours transformé la typo morphologie urbaine. Ce n’est pas la seule raison, tel l’exemple haussmannien du milieu du 19e siècle liant enjeux sociaux, économiques et sanitaires. L’approche de Georges Eugène Hausmann, parfois considérée comme le début en France de l’urbanisme moderne en tant qu’action collective, comme nous l’explique A. Cottereau (1969), était d’une contemporanéité extraordinaire par la gestion des flux dans la ville des personnes, des marchandises, des fluides et particulièrement des eaux vannes vecteur de propagation du choléra (1832 à New York, 1832 et 1848 à Paris, 1854 et 1858 à Londres). Autrefois traités de miasmes pour les odeurs pestilentielles des eaux putrides et stagnantes liées aux symptômes du choléra, la bactérie trouvée à l’état naturel en Asie est isolée en 1854 par l’anatomiste italien Filippo Pacini lors de l’épidémie qui frappa Florence, mais il faudra des décennies avant que la découverte ne soit largement acceptée.

L’analogie avec la covid-19 est assez troublante : d’une part des scientifiques découvrant, caractérisant, précisant de jour en jour les propriétés d’un virus de rhume qui fait des centaines de milliers de morts (en date du 09 juin 2020, le chiffre est de 407.067 pour l’ensemble de la planète, source John Hopkins University), mais dont le traitement se laisse attendre parce que la science ne s’improvise pas. D’autre part, les hommes et les femmes des villes et des campagnes doivent apprendre à vivre avec un risque majeur à défaut d’avoir un traitement. Les enjeux urbains du 19e siècle sont les mêmes que ceux du 21e siècle. Dans ce contexte, la ville devient le cœur de toutes les attentions, car elle concentre les risques. Précisons qu’à ce jour, rien ne présume d’un effet d’accélération de la pandémie au travers des structures urbaines denses. Diverses publications, dont certaines relayées sur ce blog, ne permettent pas de préciser une raison de causalité entre la densité urbaine et la propagation de la maladie. Au contraire, l’exemple de Bergame (CREMASCHI, 2020), ville point de départ de l’épidémie en Italie et moyennement dense avec un territoire fortement mité dans une vallée laisserait plutôt penser que la structure territoriale a plus d’impact que la densité elle-même (SIMOENS, 2020). Cette structure urbaine est d’ailleurs fort similaire au Borinage qui fut l’une des zones du territoire belge les plus touchée (La Libre, 2020). Une analyse recoupant d’autres articles démontrant également que les axes de transports autoroutiers ont fortement impacté en Europe la dissémination du virus, tout comme les aéroports et gares en Asie et en Chine en particulier (New York Times, 2020).

S’il est nécessaire de faire ce travail d’analyse et loin d’être terminé, ce qui nous intéresse aujourd’hui est la question de l’impact des maladies sur la pensée de la ville. À New York, au 19e siècle et faisant suite aux différentes vagues de Choléra, l’architecte paysagiste Frederick L. Olmsted proposa la création, ou plutôt l’agrandissement, du parc central de New York devenu aujourd’hui la pièce maitresse de l’île de Manhattan. Selon lui, les parcs avaient un pouvoir de guérison permettant de faire disparaître les miasmes, odeurs intestinales liées au choléra… Les parcs devenaient les poumons de la villes, au sens littéral du terme. A Paris, les boulevards, places publiques aérées et parcs contribuèrent également à cette logique sanitaire (SANTINI, 2013): plus il y a d’air, moins cela sent et donc moins il y a de miasmes et mieux on est en bonne santé. Le Paris ou le New York d’aujourd’hui est partiellement la conséquence d’une épidémie. La réponse urbanistique est donc une manière de compenser ce que la science ne peut résoudre. À Bruxelles, rappelons-nous la création des boulevards centraux en même temps que le voûtement de la Senne (1865-1880, (LOO, 1994)) qui produira d’ailleurs quelques exemples rares de composition haussmannienne, très parcellaire. Mais si construire une ville prenait moins de temps que de trouver un remède au 19e siècle, il en est tout autrement aujourd’hui, du moins si nous acceptons l’hypothèse que la crise que nous vivons est un phénomène unique. Toutefois, qui peut se risquer à la roulette russe aujourd’hui ? Et si la ville se construit plus lentement, les répétions des pandémies sont un risque fondamental et continu que cette crise a juste remis à l’ordre du jour des politiques sanitaires occidentales quelque peu insouciantes depuis l’après-guerre. Il semble donc toujours aussi judicieux de penser la ville face aux crises sanitaires.

Source : « Grid 1811 » par Jleon — English Wikipedia. Sous licence Domaine public via Wikimedia Commons – http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Grid_1811.jpg#mediaviewer/File:Grid_1811.jpg

Les enjeux urbains d’aujourd’hui

La transformation d’une ville doit se mesurer en décennies et sous ce sous-titre quelque peu accrocheur, nous n’avons pas la prétention de proposer UNE SOLUTION. Notre démarche s’inscrit plutôt dans la curation des articles qui fleurissent ci et là avec la volonté éditoriale de présenter les éléments qui nous apparaissent les plus probables ou questionnant les concepteurs, collègues et confrères au regard de la complexité des enjeux posés.

Un espace public urbain à échelle plus humaine

La question de l’espace public et de son partage modal nous semble être définitivement scellée, faisant accélérer une situation déjà en cours avec la piétonnisation des grands centres urbains. Si cette idée était déjà dans l’air du temps, la nécessité de redéfinir la place de l’espace dédié aux piétons s’est fait jour grâce à la distanciation sociale et l’extension des terrasses de cafés. La jonction de deux enjeux sanitaires et économiques qui, forcément, nécessitent plus de place en ville. À cela s’ajoute l’utilisation du vélo, préféré aux transports en commun qui semblent les grands perdants de la pandémie… tout comme la voiture qui reste en sursis pour les longs trajets, mais voit son espace se réduire à l’entrée des centres-villes pour permettre aux vélos et piétons de se déplacer au-delà des trottoirs occupés par les terrasses. Certains pourraient espérer que la situation ne soit que temporaire, mais nous n’y croyons pas, car la réduction de l’emprise des voitures dans les cœurs de villes correspond également à un autre constat : la ville apaisée du bruit et de la pollution pendant le confinement. Personne n’avait jamais testé une épure urbaine sans voitures sur une période aussi longue. La pandémie l’a permis et a fait prendre conscience que le stress urbain se nourrissait du bruit et que ce bruit mécanique était une pollution comme une autre. Les grandes villes wallonnes ne sont s’y sont pas trompées en profitant du déconfinement pour faire passer leurs centres-villes à 30km comme d’autres villes l’on fait depuis longtemps (SIMOENS, Lorsque les villes prennent des risques, ça paie, 2020).

Finalement, l’enjeu est de retrouver un espace public plus humain, où traverser une rue n’est pas dangereux et où les piétons et automobiles se croisent sans risques. Une situation qui a déjà existé avant la Seconde Guerre mondiale et dont la vitesse et l’encombrement nous a petit à petit distancié, particulièrement dans les années 1960-1970. Le confinement a redonné goût à la ville apaisée et les villes qui ont fait le choix de piétonniser leur centre-ville sont les grandes gagnantes : Bruxelles, Stockholm, Vienne, etc. La crise nous a également appris cette chose : gouverner ce n’est pas gérer, c’est anticiper.

Se déplacer autrement

Le déconfinement a généré craintes et espoirs. D’un côté la peur de reprendre les transports en commun, grand perdant du déconfinement, mais également l’espoir de se déplacer de manière autonome dans un rayon à taille urbaine et humaine avec nos baskets et nos vélos. La redistribution de l’espace profite aux deux, comme le démontrent les transformations liées au confinement y compris dans un pays où la voiture est reine, dans des villes comme Philadelphie où l’utilisation du vélo a augmenté de plus de 470% (BOYLE, 2020) pendant la crise ou New York où certains axes ont été piétonnisés du jour au lendemain (PLITT, 2020) et en relation directe avec de nouveaux besoins ou contraintes conjuguées. Face à conjonction d’un désire encore accru de mobilité personnelle et flexible pour se déplacer dans la ville, la réduction de l’emprise des véhicules privés dans les centres-villes et la mauvaise réputation des transports en commun, l’enjeu sera sans doute de réfléchir, non pas sur l’offre de transports collectifs, mais plutôt de repenser la répartition des horaires de travail pour diminuer la pression des heures de pointe sur les réseaux. La distanciation pourrait alors se transformer en confort : pouvoir s’asseoir dans les transports en commun moins bondés et réduisant de facto la promiscuité avec des conséquences douteuses comme le harcèlement, vol, etc.

Également une diminution de la pression des véhicules privés en voirie et devant partager l’espace avec d’autres moyens de déplacement. Les transports publics restent un enjeu majeur des villes pour réduire leur bilan carbone tout en offrant une accessibilité accrue leur permettant d’améliorer leur attractivité. Aujourd’hui, les systèmes proposent une concentration de l’offre aux heures de pointe. Cette concentration pourrait être diminuée pour être étendue sur l’ensemble des plages horaires, une forme de distanciation des rames de métro dans le temps. C’est que la RATP a proposé aux entreprises installées à paris dans le cadre de la relance des transports en déconfinement (L’express avec AFP, 2020). Une question n’ayant de sens que si la manière de travailler évolue et que les horaires de travail sont rendus beaucoup plus flexibles, tant pour le télétravail que pour les horaires présentiels. La mobilité doit faire repenser aussi le travail.

Penser le quartier autrement

Le confinement a mis en exergue un des problèmes majeurs de l’habitat contemporain : il est petit, dense et concentré dans les villes. Vu de cette manière, on pourrait s’imaginer que le résultat est de chercher de nouveau des logements moins denses et l’extension des banlieues (BENBOURNANE, 2020). En, Belgique et en France, l’explosion des demandes post confinement vont dans ce sens (DEFOY, 2020)… Et c’est une catastrophe écologique. Toutefois, elle est compréhensible de la part des demandeurs un devoir aux experts de la ville de proposer des alternatives à la villa « mon petit bonheur déconfiné ». Cette question est moins simple qu’il n’y paraît et la cabane en ville doit être bien plus qu’un simple logement. Dans sa réédition de Demeure terrestre (2020, Terre urbaine) Thierry Paquot soulève la question de la ville récréative où la bibliothèque est dans un ancien magasin laissé à l’abandon dans la rue d’à côté, du cinéma qui nous attendrait au coin de la rue, etc. Plus largement, ce qui ressort de cette position de la ville récréative est une disposition des logements ne devant pas nécessairement grandir, mais bien s’élargir dans une ville soit beaucoup plus mixte. Toutefois, la mixité fonctionnelle n’est pas une condition suffisante pour assouvir les nouveaux besoins d’espaces des résidents des villes denses. Il faut également se demander comment offrir de l’espace privé ou semi-privé dans l’immeuble même. Car le confinement a montré que la sortie en ville était devenue interdite. Une situation singulière, voire paroxystique, qui nous oblige à réfléchir sur les besoins d’espaces habités, en son sein, au sens privatif du terme. Que ce soit un intérieur d’ilot qui devient un domaine privé et partagé entre quelques habitants rencontrés dans le quotidien périodique des poubelles au coin d’un couloir, mais aussi sur notre balcon, dans nos caves et hall d’entrée. Tout cela fait furieusement penser à la cité radieuse de Le Corbusier tant décriée par les post modernistes. Une cité-immeuble, ville intérieure et confinée a de nouveaux des beaux jours devant elle, car, que fit-elle d’autre que d’offrir plus d’espace pour moins d’emprise, plus de logements avec plus de services et surtout des espaces grands et mutualisés en toiture comme pour la cité de Marseille : terrasse pour jouer au foot ou au tennis, piscine, solarium, salle de jeux, etc. Toutefois, Le Corbusier s’imaginait la nature à ses pieds, aujourd’hui, il est aujourd’hui du rôle des architectes d’amener la nature sur les toits complétés, dans les villes anciennes ou médiévales, par la question de la diminution de la densification du sol pour raviver la nature en pleine terre dans les micros-îlots.

Cité radieuse, Marseille, crédit photo : https://fr.wikipedia.org, Utilisateur:Toutaitanous_2, image : fondation Le Corbusier

Réfléchir à une nouvelle cabane

Les psychologues et médecins de l’esprit nous ont fait appréhender une situation paradoxale : alors que le confinement semble être le plus difficile à supporter, il apparait que le déconfinement et le syndrome de la cabane pourraient faire bien plus de dégâts auprès des habitants. Le paradoxe du confinement est son déconfinement qui est d’autant plus difficile que l’espace dans lequel nous vivons confinés est clos et restreint, formant une matrice protectrice où il est difficile d’en sortir (KLARIC, 2020). C’est un traumatisme découvert au travers des chercheurs d’or de l’Ouest américain à la fin du 19e siècle aussi dénommé « Cabin Fever » et désignant un stress lié à l’enfermement. Les auteurs M.G Berman et al (2008) précisent qu’une thérapie existe pour soigner ce problème et, cela étonnamment de manière plutôt simple : permettre aux personnes de garder un contact avec la nature afin de maintenir ou redévelopper des bénéfices cognitifs avec notre environnement. En ce sens, Olmsted n’avait probablement pas tort lorsqu’il proposa la création de central parc, une forêt dans la ville. Un contact nature-homme confiné qui devrait parler aux architectes dont les programmes sont de plus en plus denses par des constructions en intérieur d’ilots et de plus en plus élevées. Une situation qui devrait également amener une réflexion sur les aménagements urbains des villes belges où, le plus souvent, les espaces publics et parcs liés aux développements immobiliers sont réalisés en dernière phase alors que pour d’autres pays, le projet est initié à partir du parc ou de la place à construire. Déjà, en 2012, l’équipe d’urbanistes du bureau d’études Cooparch-R.U. avait précisé l’importance des espaces verts dans la démarche de densification de Bruxelles. Nous sommes intimement convaincus que les l’environnement urbain, tel que les exemples du projet Fontainas (Bruxelles, arch. B612) avec une forte densité bâtie et tout autant de générosité offerte aux espaces publics est nécessaire dans la ville post épidémique, là où les enjeux urbains se sont révélés de manière plus aigüe que la normale.

Les parcs de plus d’un 1Ha à Bruxelles et leur rayon d’influence sur les quartiers avoisinants. Cooparch, 2012

Discussion

Les quelques enjeux énoncés ci-devant n’ont pas la prétention de révolutionner la démarche de la conception de la ville et ses aménités. Au contraire, il est probablement beaucoup plus durable de se baser sur ce qui existe. Mais ce n’est pas pour autant que la ville ne doit pas se transformer petit à petit pour répondre aux enjeux de demain qui, grâce à la première crise pandémique mondiale depuis la grippe de Hong Kong (1968-1970), se sont catalysés au regard du monde et de manière extraordinairement brutale. Personne ne pourra plus se sentir en sécurité sur terre et devra dorénavant recomposer avec ses caprices. Les pays pauvres avaient un sérieux coup d’avance, un virus a ouvert les yeux à l’hémisphère nord. Il est de la responsabilité des acteurs de la ville de se retrousser les manches pour concilier la réduction de notre empreinte écologique tout en favorisant une manière de concevoir les nouvelles aménités urbaines et le logement avec plus d’empathie et non plus comme des objets d’un marché immobilier ou d’une ingénierie nécessaire. À défaut, tel chacun dans la caverne de Platon, nous risquons très rapidement de nous retrouver coincés dans l’illusion que tout se passera mieux demain sans regard critique, sans se préoccuper de prévoir la prochaine crise. À cet effet, et dans les circonstances économiques actuelles, le rôle des architectes et des urbanistes est essentiel, car ils ont un talent rare : faire plus avec moins. Mais une condition est requise, c’est de laisser s’exprimer leur créativité.

Belle journée à vous et merci de votre lecture.

Pascal SIMOENS Architecte et urbaniste, Data Curator.
Spécialiste Smart Cities et données urbaines, Université de Mons, Faculté d’architecture et d’urbanisme

Références

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BERMAN, M. G., JONIDES, J., & KAPLAN, S. (2008). The Cognitive Benefits of Interacting With Nature. Psychological SCience, 1207-1212. Récupéré sur http://pss.sagepub.com/content/19/12/1207

BOYLE, J. (2020, 03 20). Biking on Kelly Drive Trail Up 471 Percent. Récupéré sur Bicycle coalition of great philadelphia: https://bicyclecoalition.org/bike-usage-stats-for-march/

COTTEREAU, A. (1969, 10-12). L’apparition de l’urbanisme comme action collective : l’agglomération parisienne au début du siècle. Sociologie du travail, pp. 342-365.

CREMASCHI, M. (2020, 06 01). Pourquoi Bergame ? Le virus au bout du territoire. Récupéré sur Métropolitiques.eu: https://www.metropolitiques.eu/Pourquoi-Bergame-Le-virus-au-bout-du-territoire.html?utm_source=articlesmet&utm_medium=email&utm_campaign=2020_06_05

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LOO, A. (1994). L’hausmanisation de Bruxelles : la construvction des boulevards du centre. 1865-1880. Revue de l’Art(106), pp. 39-49.

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SANTINI, C. (2013). Promenades plantées et espaces verts : un regard historique sur la nature en ville de Paris. Dans Demeter, Promenades plantées et espaces verts (pp. 212-226). Versailles: ENSP Versailles – Marseille.

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SIMOENS, P., PARYSKI, M., & PANKRATIEVA, I. (2012). Etude du potentiel de densité au travers du PRDD. BRuxelles: AATL.

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