QUAND LES ANALYSES CLIMATIQUES RACONTENT LES CONSEQUENCES POUR 2100

Une simple image du Groenland…
Crédit : MS Fram, Copyright Harald & Yvany Schmidt – GUest Image

Temps de lecture : 2 miniutes + 5 minutes (vidéos)
Mots-clés : Groenland, changements climatiques, 2100

Ceux qui me suivent sur Facebook connaissent mon entêtement à faire prendre raison aux climatosceptiques du danger de ce qui va se passer. Pas tant pour les convaincre qu’ils ont tort, mais plus pour les informer du danger. La vidéo qui suit est remarquable car elle montre ce vers quoi nous allons.

D’une part, même à la vitesse actuelle, le Groenland ne redeviendra pas vert en 2100. Il sera juste moins blanc (pour rappel, certaines zone de l’ile présentent des épaisseurs de glace de plusieurs centaines de mètres.

D’autre part, il démontre aussi qu’il ne faut pas que le Groenland soit totalement vert pour avoir des conséquences phénoménale sur notre environnement. En effet, et sur base des statistiques de fontes, le scénario le pire est la tendance actuelle. Et les conséquences de ce scénario sont le déplacement de 100.000.000 de personnes le long des côtes. Alors on reste encore #climatoréaliste ?

Analyse et simulation du changement cumulatif de l’épaisseur de la calotte glaciaire du Groenland et la contribution de la fonte de cette calotte glaciaire au niveau mondial de la mer de 1992 à 2018, avec des projections jusqu’en 2100. © Université de Leeds, Planetary Visions et Université technique du Danemark

Et pour ceux qui s’intéressent aux écosystèmes :

Merci de votre lecture.

Pascal SIMOENS Architecte et urbaniste, Data Curator. Spécialiste Smart Cities et données urbaines, Université de Mons, Faculté d’architecture et d’urbanisme

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s