Mots clés : Facebook, valeurs, Zuckerberg, politique
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J’adore reprendre mes archives numériques et retrouver des articles laissés quelque peu en plan, là sur le côté. Le recul du temps nous donne une perspective nouvelle sur des informations immédiates. C’est le cas de cet article critique sur Facebook et les intentions de Marc Z. en octobre 2017, soit dans la tourmente continue de Cambridge Analytica.
Henri Verdier, journaliste-auteur pour Usbek & Rica nous fait part de son analyse critique des nouvelles « bonnes » intentions de notre ami Zak. À lire et comparer à ce qui se passe aujourd’hui où FB tente par tous les moyens de développer son emprise sur les internautes qui auraient tendance à s’en aller de la toile sociale numérique pour vérifier sur l’herbe est plus verte ailleurs. Son analyse est toujours, voire encore plus d’actualité.
Toutefois, ne jetons pas le bébé avec l’eau du bain : il faut reconnaitre que les actions politiques sur le climat profitent grandement des réseaux sociaux et de FB. Par contre, comme décrits dans notre article sur la gestion des actions politiques récentes à Barcelone et sur la désobéissance civile, nous constatons une localisation des applications sociales pour éviter le regard de certains « Big Brother» à la botte des gouvernements (comme toute bonne multinationale).
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Architecte et urbaniste, Data Curator. Spécialiste Smart Cities et données urbaines, Université de Mons, Faculté d’architecture et d’urbanisme
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