
Se poser la question est déjà considérer qu’il y a un problème. L’article de Valentin Cimino dans le Siècledigital.fr du 30 janvier 2019 synthétise assez bien la problématique : que ce soit des chinois, des américains, des européens : nous avons tous une approche biaisée par notre propre vécu de programmation mais également le biais local de l’endroit à nous vivons et qui influence notre manière de gérer les algorithmes. Une preuve ? Des algorithmes qui ne comprennent pas l’anglais british parce que « éduqué » sur des modèles nord-américains; des algorithmes chinois qui ne reconnaissent pas les types caucasiens.
Globalement, il reste encore beaucoup de travail sur la planche mais je ne pense pas non plus que l’exclusion de l’homme dans la production des algorithmes va arranger les choses, tel que proposé dans les liens de l’article !
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