
Voici un chouette article de Lloyd ALTER (The Guardian, édition internationale) relu voici peu de temps , datant de 2014, et que j’aimerais vous faire partager. en substance, cet article nous démontre dans les grandes villes nord américaines, comment la haute densité (et la hauteur tout court!) est un domaine qui est payable pour les individus mais certainement peu pour la collectivité. Il reprend bien sûr les immenses grattes ciels (+/- 85 étages) développés récemment à NY ou Toronto par les grandes pointures comme Ghery et où l’architecture magnifie si ce n’étais nécessaire , la domination de l’argent sur le collectif. comme dit l’auteur Michael KIMMELMAN : « on ne doit pas acheter la hauteur, on doit la gagner ».
A l’époque où ce débat qui fit rage voici quelques années, il semble qu’il soit tombé en désuétude aujourd’hui :
- soit parce que les villes ont décidé de bannir les tours
- soit parce que les villes ont décidé que les tours, c’est bien, quoi qu’il arrive.
une situation quelque peu manichéenne qui n’est pas à la hauteur des enjeux de la densité pour rendre les villes plus durables.
l’article publié dans le Guardian le 16 avril 2014: ici