Voici un article qui me motive au plus tôt à retourner dans cette capitale. Il met en exergue la capacité, en temps de crise, de faire de la ville plus résiliente grâce à la détermination des hommes et des femmes qui y habitent. Dublin, avant la crise était l’une des ville les plus dynamique d’un point de vue urbanistique. Sorte de laboratoire de toutes les théories de développement tels le TOD (transit oriented développement) avec la création d’un réseau de transports publics dépassant des villes telles Bruxelles ou Rotterdam ou encore la mutation des docks qui était en cours, avec l’opéra (Grand canal Square, arch. Liebeskind) ou encore, la construction de la tour de « U2 » (arch. Foster). Tout cela s’est effondré pour laisser place à l’ingéniosité avec d’autres formes de théories urbaines, plus orginales, moins dogmatiques, à l’échelle urbaine de la réalité dublinoise.
Je reste epaté par la créativité qui en est ressortie.
Lire l’article : ici
Source : The Atlantic cities
autre lien : Creative Dublin Alliance (avec de nombreux chiffres qui nuance les questions et faiblesses liées à la crise de 2008-2010).


C’est vrai que ça a l’air pas mal, mais n’y suis jamais allé encore. En terme d’urbanisme ça devrait donner à réfléchir à la ville où je vis (?) : Charleroi, plus moche ville du monde selon d’aucun(s).
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Ville que je ne connais que trop bien pour y travailler sur les plans d’urbanisme.
Et il y a pire, a mon sens!
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Pire que Charleroi … pauvre Monde alors !!! 🙂
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