Visiblement, le tiers monde est en train de révolutionner, par ses besoins, le reste du monde. La question des impressions 3D reste , à mon sens , un tabou intellectuel pour bon nombre d’architectes, comme si la construction 3D leur signifiait une forme d’inutilité sociale… Pour cette raison, la 3D de construction reste aujourd’hui assez confidentielle comme le projet à Amsterdam (3D print house canal).
Mais lorsque des situations de crises ou d’amélioration à grande échelle des besoins des habitants comme ici au Salvador, les technologies transcendent les apriori et c’est heureux. Gageons que les architectes vont s’approprier (enfin) cet outil pour rendre l’architecture accessible pour les moins riches dans notre monde.
L’architecture ne peut être un produit de luxe.