Dubaï… mon amour. Rêve de tout architecte, là où il y a encore un peu d’argent pour réaliser leurs plus grands rêves (Nouvel, Hadid, Ghéry, …). En pourtant, Matthias Heiderich recentre la question en posant la question de cette vaccuité des hommes à faire des villes sans vie. A regarder les photos (et réfléchir un peu) , je ne donne pas longtemps à ce que cette ville coûte beaucoup trop cher à ses développeurs.. car une ville sans vie, c’est une ville économiquement déficitaire.. et ce n’est pas les mégas centres commerciaux qui pourront compenser : la vie n’a pas de prix, elle est offerte. CQFD.
DUBAI EMPTYNESS
