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mots-clés : élections, plateformes socio numériques, influenceurs, jeunesse
Chers lecteurs, chères lectrices
Depuis quelques jours, les éditorialistes se jouent des pronostics sur l’avènement de la droite radicale qui est extrême dans son programme. Des propos complétés par le fait que » les jeunes » ont voté massivement pour le RN, chose nouvelle.
Il est aussi de bon ton de certains boomers de penser que « les jeunes sont des kankres », comme si tous les jeunes étaient des décérébrés et que seuls ceux qui n’ont connu que le confort de leurs bureaux étaient aptes à savoir comment voter. A contrario, je voulais ici présenter un post de Sqweezie, un « bête » influenceur de 28 ans avec plus de 18 millions d’abonnés aux compteurs de YouTube, bref, un « jeune con actif sur des trucs pour les jeunes », dixit un autre boomer qui se gavera à longueur de journée des émissions de LCI et CNews jusqu’aux élections.
Pourtant, et alors que cet influenceur se veut apolitique il est sorti de sa réserve le weekend du 15 juin. Voici son message sur Instagram (je vous ai proposé le fil, à lire en vertical, comme sur Instragram) :
On notera par la suite que Jordan Bardella, s’est empressé de répondre. Aurait-il peur ? Il est toutefois intrigant que son auteur (ou plutôt ses communicants) se soient approprié les mêmes typographies, même ton… mais malheureusement pour eux, pas le même fond.
Si c’était encore nécessaire, cette communication montre, que la communication est une force en politique, mais aussi le talon d’Achille de la politique des extrêmes qui, lorsqu’on a face à eux des acteurs dont c’est le métier et en plus on du fond associé avec de la forme, rend difficile de ne pas présenter un certain nombre de contradictions et surtout de démagogie, entre autre de réduire les taxes sur le pétrole alors que c’est l’une des vache à lait des gouvernements. Et franchement, le ne pense pas que Squeezie soit de gauche…
Bonne et belle journée à vous.
Pour complément :
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Pascal SIMOENS , PhD, Architecte et urbaniste, data Scientist. Expert Smart Cities. J’ai commencé ma vie en construisant des villes en Lego, j’en ai fait mon métier. Geek invétéré, aujourd’hui je joins mes passions du numérique et de la ville au travers d’une expertise smart Cities et smart-buildings en travaillant en bureau d’étude (Poly-Tech Engineering) et j’enseigne cette même expertise à l’UMONS et l’ULB.
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